créations...

Merci ^^ Comme ce sont vraiment mes derniers écrits et que j'écris depuis (heu...) deux ans et demi environs, ils sont peut-être mieux que les autres ^^" J'espère en tout cas... Parce que mes premiers étaient vraiment passables :/ pour ne pas dire carrément merdiques en fait XD

Après ceux-là, j'ai des écrits romantiques... ça convient à mes (rares) lecteurs ? ^__^'

Oui, ça me convient xD
Et je pari que même les anciens sont supers ! ^^

Oui j'espere aussi que personne n'est comne ça XD
J'en veut bien d'autres aussi
J'aime beaucoup ta facon d'écrire aussi ^^

Chopper a écrit:

Et je pari que même les anciens sont supers ! ^^

Heu... merci, mais je suis vraiment pas sûre XD Je relirais pour voir... ^^' 30 chapitres, c'est vite relu
En attendant, voici mon "premier" écrit romantique XD (entre guillemets parce que c'est pas vraiment le 1er... Seulement le 1er depuis que je me suis améliorée ^^")


Les raisons



J’étais assise, seule, sur un des bancs du grand parc de notre ville. Et j’étais inquiète. Très inquiète. Mon meilleur ami avait eu le coup de foudre pour une fille on ne pouvait plus explosive. Il savait bien comment elle était, et il aimait ça. Et aujourd’hui, il a décidé de lui déclarer sa flamme. J’ai peur pour lui, qu’elle l’envoie balader violemment, ou si jamais elle accepte, comment elle se comportera avec lui.

Je n’étais pas amoureuse de lui, il était simplement mon ami, et je tenais à lui. Et je connaissais très bien la fille en question. C’était justement le genre de fille qui pouvait se montrer extrêmement dure avec les garçons sensibles. Or, la sensibilité était la plus grande qualité de mon ami. Ou son pire défaut, selon les points de vue.

Je sortis de mes pensées morose, alertée par un craquement. Il était de retour, un pâle sourire sur les lèvres, le teint pâle. Il me sembla que mon estomac fit un saut périlleux dans mon ventre, à la vue de ce sourire triste. Je me précipitai sur lui et m’empressa de demander :

– Qu’est-ce qu’elle t’a fait ?

À ma plus grande surprise, il éclata de rire. J’étais totalement perdue.

– Quoi ? ai-je doucement demandé, trop inquiète pour parler plus fort.

– Tu parles d’elle comme si elle était sauvage… Cela me fait rire, rien de plus.

Ma peur avait fait place à la nervosité à un point très élevé, à la limite du stress. Je donnai un coup de poing sur l’épaule de mon ami, tout en évitant d’aller jusqu’à lui déboîter l’épaule, et je fis un petit saut.

– Allez bon sang, raconte !

– Tout va bien, calme-toi… Elle a accepté de sortir avec moi.

Je me plaquai la main sur la bouche pour étouffer le hurlement suraigu que je poussai. J’étais tellement excitée que j’aurais été capable de tout. De m’exploser la tête contre un arbre, de faire quinze fois le tour du parc en sprintant, ou alors, si je n’avais eu aucune pudeur, d’aller jusqu’à embrasser mon ami. Mais j’avais de la pudeur, heureusement.

– Alors pourquoi ce sourire tout tristounet ?

– Oh, ça… ? Non ce n’est rien, ne t’en fais pas… Sur le chemin du retour, elle m’a juste exposé les conditions que je devais remplir pour être digne d’elle…

Cette fois, je ne fis rien pour étouffer mon cri. Quelle pimbêche ! Je passai cinq bonnes minutes à la traiter de toutes les insultes qui me venaient à l’esprit, sans prêter attention à mon ami. Quand je me fut cassé la voix, il en profita pour prendre la parole.

– Tu sais, je savais qu’elle me dirait quelque chose comme ça. Et puis… Ce n’est pas si catastrophique, je suis déjà au point sur pas mal de critères…

Je me tus et baissa les yeux. Après tout, il en était tombé amoureux. Et je lui faisais confiance. S’il était autant amoureux, c’est qu’il devait y avoir de bonnes raisons. Je devais arrêter de me baser sur mes préjugés, puis apprendre à connaître cette fille pour en découvrir les qualités. Je me fis la promesse de soutenir mon ami jusqu’au bout, ainsi que celle de tuer cette fille avec un couteau à beurre si jamais elle lui faisait du mal.



Trois jours après la demande de mon ami, il nous avait invité, toutes les deux, à aller au McDo pour apprendre à faire connaissance.

– Au début, elle a râlé… Mais en fin de compte, elle a bien voulu venir.

Elle n’était décidément pas une fille facile. Je n’avais rien contre les personnes qui avaient un peu de caractère, bien au contraire, mais elle en avait trop ! Je me demandais même s’il lui arrivait de ne pas rouspéter pendant trois heures avant d’accepter quelque chose. Les personnes qui passaient leur temps à critiquer m’horripilaient. Et elle n’était pas une exception.

– S’il te plait… Ne dis rien qui soit trop brutal, d’accord ? me supplia mon ami avec des yeux de chien battu.

Je soupirai et acceptai. Quand il faisait le chien battu, je ne pouvais rien lui refuser. Il me sourit. C’était encore un sourire amer, avec une pointe de tristesse. Ça me fendit le cœur.



J’en avais plus qu’assez. Nous étions ensemble depuis plus d’une heure et demie, et je me retenais à grand peine d’aller réclamer un couteau à beurre à la caisse. Je ne voyais vraiment pas ce qui plaisait à mon ami chez cette fille ! J’avais essayé d’engager la conversation au moins une vingtaine de fois, et elle ne répondait jamais à mes questions. Elle se contentait de me fusiller du regard et d’aboyer sur mon ami.

– T’es vraiment crétin pour m’avoir traînée ici ! avait-elle dit.

Je fermai les yeux et prit une profonde inspiration pour me calmer.

– Tu n’aimes pas les… commençais-je.

– Tu vas la boucler, oui ? me répondit-elle sur un ton exaspéré. C’est as parce qu’on est ensemble qu’il faut absolument parler !

Elle se retourna vers son petit ami.

– Et ça, c’est ton amie !

Elle émit une sorte d’exclamation arrogante.

– Tu as vraiment un drôle de goût !

Cette fois c’en était trop. Je me levai d’un bond, saisis ma barquette de frittes et la lui lança à la figure.

– T’es vraiment une fille gonflée ! Tu te prend pour qui pour te permettre de nous parler comme ça ?

Mon ami me tira la manche.

– Je t’en prie ! couina-t-il.

Il semblait sur le point de pleurer, ses joues étaient roses. Je me dégageai de lui.

– Imbécile ! ai-je fait. Tu vois pas que cette fille ne te rendra jamais heureux ?



Je courais à en perdre haleine. Une semaine s’était écoulée après la scène du McDo. Et je n’avais pas revu la fille depuis. Quant à mon ami, je ne l’avais vu que le lendemain. Il venait de me passer un coup de fil en me demandant d’aller chez lui, le plus vite possible. Mon cœur battait la chamade, je sentais ses battements jusque dans ma gorge. J’avais aussi l’estomac retourné par l’angoisse, et les mains tremblantes. Sa voix était différente de d’habitude. Et il ne me demandait que très rarement de venir chez lui. Il avait aussi insisté pour que je vienne le soir même, et non le lendemain matin. Qu’est-ce qui pouvait être si urgent ?

Une fois arrivée chez lui, sa mère m’ouvrit.

– Ah, tu es arrivée ! Monte, il est dans sa chambre !

J’acquiesçai d’un signe de tête, l’air affolé. J’avais la gorge trop nouée pour articuler le moindre son. J’accouru vers la porte de sa chambre, en montant les escaliers quatre à quatre. Je frappai rapidement et entrai sans même attendre sa réponse. Je le vis. Et j’eus l’impression de tomber dans le vide. Il était étendu sur mon lit, la tête dans les bras. Il avait relevé la tête pour me voir entrer. Et il pleurait.

Mes lèvres se mirent à trembler, c’était la première fois que je le voyais comme ça. Je criai son nom et me précipita sur lui.

– Qu’est-ce… Qu’est-ce que tu as ? Raconte-moi tout ! C’est elle, c’est ça ? Elle a rompu ? Elle t’a fait quelque chose ?

– Je… C’est bien elle, mais elle ne m’a rien fait de spécial…

– Alors pourquoi tu pleures ? ai-je crié.

Je criais. C’était rare chez moi, mais de plus en plus fréquent depuis ce jour là… Je m’inquiétais vraiment pour mon ami, et mes nerfs lâchaient.

– Ce n’est rien… Tu sais, elle est assez dure…

– Je te le dis tout le temps ! Tu ferais mieux de la quitter, regarde dans quel état elle te met !

Il hocha la tête en signe de dénégation.

– Elle m’a avoué qu’elle m’aimait depuis un petit moment, elle aussi… Et par moment, il lui arrive de se montrer encore plus vulnérable que n’importe quelle autre fille… Mais le reste du temps, elle est brutale… J’avais juste besoin d’évacuer les émotions liées à cette brutalité, rien de plus… Quand elle se blottit dans mes bras et qu’elle me hurle que je suis un imbécile deux seconde après, c’est violent, tu sais…

Je serrai le poing.

– Comment tu peux continuer à l’aimer si elle te fais souffrir comme ça ?

– Je… C’est parce que c’est comme ça que je l’ai toujours connue… Et que c’est avec cette partie de son caractère que je suis tombé amoureux d’elle… Si elle était toujours à me tenir dans ses bras, ce ne serait pas la fille que j’aime… Tu comprends ?

Oui, je comprenais. À partir de ce moment là, je me promis de ne plus rien lui demander sur le pourquoi du comment. Les questions du genre « pourquoi tu l’aimes ? », je les bannis de mes pensées, puis de toujours venir quand il aurait besoin d’« évacuer ». Après tout, c’était mon rôle d’amie.



« Comment tu peux aimer une fille comme elle ? »

L’amour a ses raisons que la raison ignore.

C'est trop bien !!
Mais je pense que les anciennes sont bien quand même ^^

Elle est géniale ^^ bravo !!
"tuer cette fille avec un couteau à beurre" original XD

Edit: je l'ai fait lire à mon copain, alors :
Fred (Absent...) dit :
yea c'est vraiment chouette ^^
Fred (Absent...) dit :
t'es inscrite ?
Fred (Absent...) dit :
dis que ton chéri kiff grave trop sinon

Voilà c'est dit XD

Rhoo c'est trop gentil ça me touche
Tu diras merci à ton chéri (quand le mien se décidera à lire mes tites histoires, il neigera en août... )

Comme vous me semblez bien aimer les tis trucs romantique... Je vous en mets un autre, vu que j'en ai plein Je suis trop romantique des fois XD


Et pourtant…



Souvent, je me demande pourquoi je continue à y croire… C’est tellement absurde. Et je n’exagère pas en pensant cela. Il n’aime pas la vie, il ne croit en rien… Rien ne le rend heureux, n’importe quel événement peut lui sembler une catastrophe, il voit tout en noir, il est toujours pessimiste… Et tout ce qu’il veut, c’est mourir. Malgré ça, je continue à croire qu’il restera à mes côtés à jamais. Parce que je l’aime, bien sûr. Et j’ai beau essayer de lui faire voir la vie autrement…

Il sait que je l’aime. Quand je lui ai dit, il ne m’a pas repoussée. Il a dit que je pouvais continuer à l’aimer même s’il ne partageait pas forcément mes sentiments. Et comme je n’ai pas le même caractère que lui, je me dis que c’est une forme de bonheur, en soi. Nous sommes toujours aussi proche, rien n’a changé. Je sais que ce garçon ne me brisera pas le cœur autrement qu’en se donnant la mort. Je ne veux pas essayer d’imaginer comment je serai s’il fait ça.

Je continue à croire qu’il ne se donnera jamais la mort… C’est tellement absurde de penser ça.



Comme tous les matins, il m’attendait. Il était allongé dans l’herbe humide, il regardait le ciel. J’aimais bien son côté rêveur. Toujours un regard vers les nuages… C’était peut-être la seule chose qui le rendait heureux. Ou bien qui lui permettait d’oublier tout le reste, le temps d’une rêverie… J’aurais tout donné pour savoir ce qu’il pensait, dans ces moments là.

Je m’éclaircis doucement la gorge pour signaler mon arrivée.

– Tu es en retard, ce matin, m’a-t-il fait remarquer sans quitter les nuages des yeux.

– Je suis… désolée. Je réfléchissais…

– Ah.

C’est tout ce qu’il dit. Nous restâmes un moment silencieux. J’avais envie de m’allonger à côté de lui, et de regardait là où il regardait… Mais je n’osais pas. J’avais trop peur qu’il pense que j’étais encombrante, pénible… C’était vraiment quelque chose que je ne désirais en aucun cas. Je préférais ravaler tous mes sentiments et ne rien faire, plutôt que de passer pour une plaie.

– Je sais ce que c’est, je réfléchis beaucoup, moi aussi, dit-il enfin.

Même si je n’avais jamais vraiment réfléchi à cette partie de son caractère, sa révélation – qui n’en n’étais pas vraiment une – ne m’étonna pas le moins du monde. C’était tout à fait son style d’être ainsi.

– Et là ? Tu réfléchis ?

– Oui… Je réfléchis le plus souvent ici…

Je m’assis dans l’herbe. Je le comprenais… Ici, c’était calme. Très calme, même… Un endroit parfait pour réfléchir. Et je venais, tous les matins, pour lui gâcher le calme qui lui plaisait tant…

Mes lèvres se mirent à trembler. Je me levai aussi rapidement que possible, il se redressa et me demanda ce que j’avais, l’air affolé.

– Je suis désolée ! ai-je fait dans un sanglot.

J’ai tourné les talons et me suis enfuie aussi vite que mes jambes tremblantes et ma vue brouillée de larmes me le permettaient. J’étais vraiment stupide ! Il m’avait dit de le rejoindre un matin, et j’avais continué à venir… Il ne m’était même pas venu à l’esprit qu’il voulait être seul ! Moi qui pensait qu’il venait pour me voir… C’était pour ça, qu’il ne disait jamais rien…



Le lendemain, je ne suis pas allée au parc. J’ai même passé ma journée au lit, recroquevillée, déprimée. Idem pour le surlendemain.

J’entendis la porte de ma chambre s’ouvrir. Je me mis les couvertures sur la tête en criant :

– Maman ! Je t’ai déjà dit de me laisser tranquille !

– Pardon, c’est moi…

Il ne me fallut pas une seconde pour reconnaître sa voix. C’était lui… Je restai quelques secondes sans rien dire, sans me découvrir.

– Va-t’en, ai-je fini par lâcher.

– Non… Pourquoi tu n’es pas venue, ces deux derniers jours ? Quelque chose ne va pas ?

– Tu as dit que… que tu allais là-bas pour réfléchir… Donc je te dérange en venant…

Il soupira.

– J’aurais dû m’en douter… Tu es vraiment débile, tu sais. Tu crois que si tu me dérangeais vraiment, je ne te l’aurais pas fait savoir ?

– Je sais pas, ai-je murmuré.

Il s’adossa contre le mur près de mon lit et alluma la lumière. Mes yeux me piquèrent. Ça faisait au moins deux jours que je n’avais pas vu la moindre lumière.

– Est-ce que tu sais à quoi je réfléchis, quand je t’attends ?

– Non…

– Je me demande pourquoi je viens. Et j’ai trouvé mes réponses, quand tu n’es pas venue.

Je ne dis rien. Je ne savais pas si j’avais envie de connaître la réponse.

Je sentis mes couvertures s’en aller. Il me les avait enlevées.

– Regarde moi ! s’écria-t-il.

À contrecœur, je me retournai. Je vis son visage grave. Je l’avais rarement vu d’aussi près. Il avait plongé son regard dans le mien… Je n’arrivais plus à détourner les yeux…

– Je me suis dit que c’était une des seules choses qui valait le coup, dans ma vie… Et que tout n’était pas si moche, quand tu étais là.

– Je…

Il me fit signe de me taire. Il passa une main dans mon cou et se rapprocha de mon oreille. Je n’arrivais plus à réfléchir, plus rien n’atteignait mon cerveau, je ne me rendais plus compte de rien, sauf que mon cœur battait plus fort que jamais.

– Moi aussi, je t’aime, chuchota-t-il au creux de mon oreille.

Cette phrase me fit revenir sur terre. Mais elle me réexpédia au septième ciel. Je n’arrivais plus à bouger le moindre de mes muscles. Il se releva et sortit de ma chambre, puis de la maison. Je n’avais toujours pas bougé.

– Ne… Pars pas… ai-je murmuré quelques secondes après son départ.

J’ai passé le reste de ma journée au lit, une fois de plus.



Le lendemain, je me décidai enfin à sortir de mon lit, puis de la maison. Je regardai l’heure… C’était l’heure de nos rendez-vous. Je me demandais s’il y était allé… Et si je devais y aller.

Finalement, j’avais décidé d’y aller. Et je le retrouvai, comme tous les jours, allongé dans l’herbe humide.

– Salut…

Il sourit.

– Je me demandais si tu allais venir.

Des tas de réponses se bousculaient dans ma tête, si bien qu’au final, je ne répondis rien et je m’assis à côté de lui.

– À propos de ce que je t’ai dis hier… hésita-t-il. Je n’avais pas pensé à ça, mais… Tu as peut-être trouvé… quelqu’un d’autre… ?

Cette fois, je n’eus pas besoin de réfléchir à quoi répondre.

– Bien sûr que non ! Je ne suis pas le genre de fille à tomber amoureuse si facilement ! Tu… Tu es le premier et… J’espère que tu seras le seul… C’est toi, que j’aime…

Je n’arrivais pas à croire que je disais ça. Mais c’était vraiment le tout pour le tout. Je voulais le garder avec moi autant que je le pouvais.

Il ne répondit rien. Il détourna simplement les yeux et fouilla dans la poche arrière de son pantalon. Il en sortit un canif. J’étais mortifiée. Qu’est-ce qu’il faisait avec un couteau sur lui ?

Il me remit l’objet.

– C’est pas mon cœur, que je te donne. C’est ma vie. Je garde ce couteau sur moi depuis mes huit ans. Ça fait depuis ce temps que j’hésite à m’en servir.

Il découvrit son poignet et me le montra.

– J’ai toujours les marques de mes trois tentatives. Mais va-t-en savoir pourquoi, je n’ai jamais eu le courage de percer plus profondément.

Je relevai la lame du couteau. En effet, il était encore tâché de sang. Du sang séché depuis longtemps.

– La dernière remonte à l’année dernière.

Je crois que mon cœur ne m’avait jamais autant fait souffrir qu’à ce moment là. Il était donc si triste… Et je n’y pouvais rien… J’étais tellement impuissante…

Il soupira et recouvrit son poignet.

– Mais je vais oublier tout ça. J’ai une raison de rester en vie, maintenant.

Je relevai les yeux. Il me regardait. Il était si sérieux…

– Mais si tu veux partir, je ne te retiendrai pas. Je te demande juste de me tuer toi-même quand tu le feras. Mourir reste quand même la chose que je convoite depuis longtemps… Et je veux que ce soit une personne à qui je tiens qui m’offre ça.

Je rangeai la lame, puis le couteau dans ma poche. Je n’avais jamais entendu de chose aussi absurde.

– Tu crois vraiment… Que je pourrais faire ça ? ai-je demandé, la gorge nouée.

Il haussa les épaules. On s’était à peine mis ensemble qu’il pensait déjà que je m’en irais… Je le connaissais mieux que personne d’autre, et puis… Non, je ne voulais pas le rendre triste, lui faire du mal… Pas pour une fois qu’il avait l’air heureux. Pas après l’avoir connu aussi triste. Je ne voulais pas.



Parfois, je me demande encore comment je peux imaginer qu’il restera à mes côtés toute ma vie… J’ai toujours le couteau avec moi. Mais je ne sais pas vraiment pourquoi… Peut-être parce que c’est en se donnant la mort qu’il me fera du mal… Je le garde peut-être pour pouvoir le rejoindre s’il le fait. Le voir enfin heureux est vraiment mon plus grand bonheur. Et j’arrive à imaginer qu’il sera toujours comme ça… Et je persiste à croire qu’avec lui, tout restera possible. C’est peut-être absurde… Mais je l’aime.

C'est trop bien !!

Merci ^^

J'ai pensé un truc tout à l'heure... (oui, je pense XD ça m'arrive )
Etant donné que vous êtes deux à me lire... ça vous dirait que je fasse une histoire dont vous serez les deux personnages principaux ? Bien sûr, ça sera une histoire en une dizaine de chapitre (voire plus)...
Vous êtes partantes ?

Si oui, il ne faudrait une descriptions de vos caractères respectifs... Vous pourriez m'envoyer ça par message privé ? (comme ça ça conserve la surprise XD)

Franchement j'adore tes histoires !! chest trop bien ><
C'est un méchant ton cheri de pas les lire *rrrr*
Force le ! XD

Naan le pauvre, il faut qu'il s'occupe de son forum et qu'il fasse ses réunions militaires pour d'autres forums (et qu'il se fâche avec le monde entier x) )... Pis bon, je fais déjà chier le monde entier avec ce que j'écris, je voudrais éviter de lui casser les co****** XD

Si, il faut le forcer à les lire car tes histoires sont excellentes !! ^^
Et pour l'histoire, je veux bien, mais tu peux m'envoyer un genre de formulaire par MP car je sais pas quoi dire

Anata a écrit:

Naan le pauvre, il faut qu'il s'occupe de son forum et qu'il fasse ses réunions militaires pour d'autres forums (et qu'il se fâche avec le monde entier x) )... Pis bon, je fais déjà chier le monde entier avec ce que j'écris, je voudrais éviter de lui casser les co****** XD

C'est pas grave ça !! XD
t'es plus importante que tout pour lui (on va dire x)) donc il se doit de lire tes merveilleuses histoires
tu l'attache à une chaise devant un bureau et lui met les histoires devant et tu lui dit : "lis!" et tu le dettache pas t'en qu'il te les a pas résumées !
Faut savoir les dominer les hommes !! XD

Je lui ferais lire ce message =P

(Chopper, je t'envoie ça ^^)

Merci de me l'avoir envoyé ^^

Bah de rien ^^ Si je prévois de faire quelque chose, je vais pas annuler tout s'il me manque des éléments XD Si le éléments ne vienent pas z'à mua, mua va aux z'éléments...